Parmi les drogues les plus addictives qui trainent sur Internet, on peu trouver un jeu de cartes « free-to-play » nommé Hearthstone. J’avais testé a sa sortie cet objet chronophage et j’avais fini par laisser tomber, trouvant que ça tournait en rond et que les « decks » que l’on affrontait et que l’on jouait finissaient par être toujours les mêmes.
Au lieu de désinstaller la bête, je l’avais laissé sommeiller dans un coin de disque dur, au cas où … et ce qui devait arriver arriva, j’ai commis l’erreur de relancer le jeu, comme ça, pour voir. Grand mal m’en a pris car me voici de nouveau sous l’emprise démoniaque d’un jeu qui a sut se diversifier en rajoutant de chouettes nouveaux modes, nouvelles cartes et un peu d’aléatoire bien rafraichissant.
Bref, ce n’est pas tant pour le jeu et les superbes illustrations qu’il contient que je le mentionne ici, mais plutôt pour ses cinématiques à l’aspect « peint à la main » que je m’arrête sur lui aujourd’hui. La dernière extension, la Ligue de explorateurs ne dérogeant pas à la règle, la voici. Pour les curieux, je vous invite à aller voir les autres sur la chaîne officielle et surtout à ne pas installer le jeu sous peine de vous retrouver engluer dans le cercle vicieux « encore une partie et j’arrête ».