Suite de l’aventure Ernestine dans sa bulle bleue.
J’ai commencé à la placer dans un décors car elle n’est pas seule à attendre son prince charmant et il faut que je suggère d’autres « œufs ».
A ce stade, je me dis que j’aurais dut tout placer dans un premier temps et que ça m’éviterais de m’embrouiller avec les calques. Enfin, c’est en forgeant qu’on devient forgeron.
Le travail avance tranquillement sur Ernestine et après quelques modifications physiques, je lui ai mis ses fines écailles et quelques tatouages. Je ne suis pas encore tout à fait satisfait de sa poitrine et elle aura peut-être droit à une opération.
Aujourd’hui j’ai commencé à travailler sur Ernestine. La pauvre est enfermée dans le noir et attend en silence que l’on vienne la délivrer …
Une illustration qui s’annonce compliquée car il va falloir montrer beaucoup avec très peu de lumière.
Composé de quatre personnes, Hitbox Team est un studio indépendant d’origine australienne a qui l’on doit le jeu de plates-formes Dustforce sorti en janvier 2012 qui jouit d’une excellente réputation chez les amateurs du genre et qui vient d’être mis à jour sous le titre de Dustforce DX.
Si je les mentionne ici, c’est parce qu’ils travaillent actuellement sur un projet qui m’intéresse au plus haut point portant le nom de Spire. Dans Spire, il sera question de monter tout en haut d’une tour pleine de monstres, de pièges et d’objets qui change à chaque partie en vue à la première personne. Donc, une sorte de « fps-rogue like » complété par une direction artistique qui ne me laisse pas insensible, loin de là. Annoncé pour fin 2015, je pense qu’ils sont la tête dans le guidon et je me contenterai donc des quelques images qui sortent de temps en temps sur le Tumblr de l’équipe … Courage les gars !
Ayant depuis quelques temps l’envie de retoucher à la vidéo et au « compositing », il semblerait que mon désir puisse être comblé par un logiciel libre au drôle de nom, j’ai nommé Natron. Développé par des français de l’Institut national de recherche en informatique et en automatique ( site ), il semble encore un peu « jeune » et il n’y a pas encore beaucoup de tutoriels mais la vidéo de présentation de monsieur François Grassard à la « demoparty » VIP 2015 m’a fait tomber sous le charme. Alors, je ne sais pas si c’est lié au démonstrateur, mais le logiciel a l’air vraiment fluide, simple à utiliser même si quelques plantages sont à craindre pour l’instant d’après le conférencier.
Décidément, le libre gagne en qualité tous les jours et si la suite prend le même chemin que Blender en terme de qualité de réalisation, ça pourrait être l’alternative à beaucoup de solutions du marché. Bref, il est temps de passer à la conférence sur Natron, le logiciel de « compositing » libre, open-source, disponible pour MacOS, Windows et Linux.
Ce blog est actuellement en pause ou au ralenti en attendant d’y voir plus clair au sujet de l’intelligence artificielle …
Suite et fin de l’illustration commencée précédemment. Je pourrais continuer à rajouter des excroissances de pierres et d’autres détails, mais il faut savoir s’arrêter.
Depuis des années, à chaque fois que je vois une cinématique issue de leur ateliers, je souhaite que les ptits gars de chez Blizzard nous pondent un long métrage en images de synthèse sur un de leur jeu. C’est donc en bon « fanboy » de base que je me suis précipité sur la bande annonce du film nommé Warcraft : Le commencement pour prendre une grosse claque, aller-retour joues droite et gauche, doublée d’un crachat au visage. Si c’est ça le commencement, vivement la fin.
Voici donc venir un massacre supplémentaire de licence de jeu vidéo à coup d’acteurs au charisme de moule en armure de plastique, parlant à des orcs virtuels mal incrustés sur des prises réelles ou sur fond vert. Ou vice-versa, ou maquillés, ou pas. De toute façon on s’en fout, c’est fait pour plumer les fans.
Fin de journée et suite de mon gros lézard avec ajouts de détails et divers tests de matières / couleurs. Je ne sais pas si je vais tous garder. Je commence à « l’habiller » et je devrais avoir fini demain.
Suite de l’illustration amorcée précédemment où je m’embourbe un peu dans les détails, ce qui est un piège quand on travaille en 300 dpi. Mais qu’importe, ça me plaît bien pour l’instant avec une légère désaturation pour rendre les couleurs moins « flashy ».
